<div class="gmail_quote">2010/3/26 Cyril de Runz <span dir="ltr">&lt;<a href="mailto:cyril.de-runz@univ-reims.fr">cyril.de-runz@univ-reims.fr</a>&gt;</span><br><blockquote class="gmail_quote" style="border-left: 1px solid rgb(204, 204, 204); margin: 0pt 0pt 0pt 0.8ex; padding-left: 1ex;">
N&#39;auriez vous pas vous même introduit des données erronées ? cette qualification est essentielle, elle est gage de fiabilité du système et de tolérance aux erreurs (à l&#39;instar des systèmes critiques puisque vous en parlez). D&#39;ailleurs, en parlant de ces systèmes, il n&#39;ont pas choisi une approche totalement libre, et ne diffuse pas leur données.<br>
</blockquote><div><br>Remplacez dans la phase précédente le mot &quot;données&quot; par le mot &quot;code&quot; et vous comprendrez à quel point les thèmes abordés (fiabilité, tolérance aus erreurs) sont tellement proches des anciens débats entre open source et applications propriétaires. <br>
Si j&#39;ai bien compris, l&#39;OSGeo défend la diffusion des applications dont les codes source sont ouverts en soulignant tous ses avantages - dont la réutilisation - mais une partie de son audience n&#39;est pas encore convaincue de faire la même chose pour les données. Intéressant. <br>
</div></div>Moi, je suis persuadé que, comme pour les logiciels, les deux systèmes vont cohabiter - et pour longtemps. Cela permettra de modérer les excès des positions trop dominantes (voir monopolistiques) dans ces deux domaines (cf Microsoft). Comme le disait Émilie, ce sont d&#39;avantage certains acteurs privés comme Navtec qui ont du soucis à se faire et non l&#39;IGN.<br>
Le problème de l&#39;inexactitude des données, ou plutôt du financement de leur maintenance, serait plus facilement réglé si tous les acteurs publics commençaient par travailler ensemble. On peut toujours rêver.<br><br>Pieren<br>